Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose)
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Rosalynn Whitmore
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Sujet: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 11:45
Rosalynn Whitmore
» age.vingt-deux ans, majeure depuis un moment, vaccinée et j'ai évidemment toutes mes dents.. » métieraccessoiriste. Je suis chargé sur un tournage ou au théâtre, de gérer les objets énoncés. » statut civilcélibataire, mais mentalement en couple avec un acteur qui ignore mon existence. » orientationHétérosexuelle. désolée mesdemoiselles, mais je préfère les torses musclés et les belles lignes en v. » nationalitéAméricaine. I love this country. To me, she has no sins. » groupeold.
» caractère Je me qualifierais comme sérieuse dans mon travail par exemple, quand je commence quelques choses je vais toujours au bout. C’est mon côté fonceuse et tête brûlée. Car quand j’ai une idée quelques part, je ne l’ai pas ailleurs ! Il est difficile de me faire changer d’avis quand j’ai envie de faire quelques choses. Mes parents l’on d’ailleurs bien comprit, mais je reste une personne posée et consciente de ce qui m’entoure. Ma curiosité m’entraine parfois à aller un peu trop loin, mais c’est plus fort que moi. Parfois je ne me sens pas à ma place dans ce monde trop luxueux et plein de règles. Comme si je ne faisais pas vraiment parti de ce monde. Mon côté marrante et rigolote m’ont permis de faire passer certaines situations ennuyantes d’une vie de riche un peu plus agréable. Si je le pouvais, je passerais mon temps à rire. En grandissant j’ai développé une certaine jalousie et un côté rancunière que je ne connaissais pas auparavant. Difficile de vous pardonner une faute lorsque vous m’avez trahi.
ft Kaya Scodelario
01. Je suis allergique à la poussière, je fais donc tout le temps le ménage. 02. Je suis très proche des garçons, mes meilleurs amis sont d'ailleurs des gars. 03. Je fais tout le temps le clown, fait des grimaces et raconte des blagues pas marrantes où je suis la seule à rire. 04. Je suis accro à la musique, c'est ma plus grande passion. Souvent, j'écris, compose et interprète mes propres chansons mais, je le garde secret. 05. Très naïve, je tombe toujours amoureuse du premier venu mais, je n'ai jamais été gâté question relation amoureuse. 06. J'ai un fort caractère et est du genre à agir avant de réfléchir, souvent impulsivement. 07. Je n'aime pas les fêtes telle que la st valentin, la fête des mères, pères car je les trouve trop commerciales et je pense que je n'ai pas besoin de fête pour prouver mon amour. 08. Je suis très proche de mon grand frère même si je le trouve trop protecteur. 09. Je tiens un journal intime depuis que je suis gamine et n'a jamais cessé d'écrire dedans. 10. J'ai été élevé dans un milieu très religieux mais, j'aimerais m'en séparer. 11. Je suis restée vierge jusqu’à l'âge de vingt et un an, avant d'être enlevée et violée par un malade. 12. Je reste traumatisé de cette période de ma vie, mais j'essaye de l'oublier par tous les moyens. 13. Je pratique une fois par semaine un entraînement de karaté.
Derrière l'écran
pseudo : Chaplin (mon héros de toujours ) âge : vingt ans . fréquence de connexion : Vu que je n'arrive pas à trouver du boulot en ce moment, je serais connecté tous les jours. où as-tu trouvé le forum : Dans la proche droite de ma veste, incroyable non ? qu'en penses-tu : Les membres les plus charmants et accueillant se trouvent ici, et je sens que je vais m'y plaire . scénario ou inventé : inventée. dernier mot : Écoute le vieux Rafiki, il connait le chemin !
Dernière édition par Rosalynn Whitmore le Dim 26 Oct - 14:38, édité 5 fois
Rosalynn Whitmore
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 11:46
Mon histoire
« Je suis en vie. » Lentement, avec difficulté, j'ouvris les yeux à l'intérieur qu'une pièce faiblement éclairée. Le temps de deux ou trois battements de paupières, je crus être dans un hôtel où je ne me souviens pas d'avoir pris une chambre. Un hôtel totalement bizarre dans un film de Jim Jarmush encore plus bizarre. Mais cela n'avait guère d'importance. Au moins, j'étais en vie. Soudain, je me souvins qu'on m'avais tiré dans la poitrine avec un pistolet paralysant. Je me souvins de mon agresseur. Grand, cheveux court, ton sociable et posé. Un malade de haut vol. J'entrepris de me lever, mais me ravisa immédiatement pour lancer : « Y'a quelqu'un ? » Ma gorge était sèche, et l'écho de ma voix roulait douloureusement à l'intérieur de mon crane. Je me mis à frissonner. Je vivais un instant de pure terreur, mais tout cela était si horrible, si déconcertant que je ne pouvais me résoudre à l'accepter. J'avais l'impression d'avoir la tête enflée, gonflée comme un fruit trop mûr, mais malgré la douleur, je me souvenais parfaitement de mon agresseur. Il était grand, peux-être pas loin de deux mètres, plutôt jeune, extrêmement fort, et s'exprimait avec beaucoup d'aisance. Les images que je revoyais étaient floues, mais leurs réalité ne faisait aucun doute pour moi. Un autre élément de l'horrible agression dont j'avais été victime chez moi me revient en mémoire : il s'était servi d'un pistolet paralysant pour m'immobiliser. Il avait également utilisé du chloroforme, à moins que ce ne fût un autre produit. Il avait volontairement laissé la lumière allumée. La hauteur du plafond de la pièce ne devait guère excéder deux mètre dix. On aurait dit que cette chambre venait d'être construite, ou refaite à neuf. Elle était décorée avec goût, comme j'aurais pu le faire chez moi. Un vrai lit en cuivre. Une commode ancienne blanche. Une coiffeuse avec brosse en argent, peigne, miroir. Des foulards aux couleurs vives étaient disposés au dessus du lit, tout comme chez moi. Étrange, très étrange. Dans cette pièce, il n'y avait aucune fenêtre. La seule issue semblait une porte de bois massif. « Sympa, la déco. Barjo haute époque.» La porte d'un placard était entrouverte. Ce que je vis à l'intérieur me donna un haut-le-coeur. Il avait apporté tous mes vêtements dans cet endroit horrible, cette étrange cellule de prison. Tout mes vêtements étaient là. Je sollicita le peu de forces qu'il me restais pour me redresser sur mon lit. L'effort fis emballer mon coeur. Je me concentra autant que je pus en essayant de ne pas quitter des yeux l'incroyable spectacle. Mon regard resta rivé à l'intérieur du placard. En réalité, ces vêtements n'étaient pas les miens. Il était allé acheter des vêtements identiques aux miens! Tout à fait mon style, mes goûts. Ceux qui se trouvaient dans le placard étaient neufs, comme en attestaient les étiquettes suspendues aux chemisiers et aux jupes. Les boutiques où j'avais moi-même coutume de faire mes achats. Mon regard fila jusqu'à la commode ancienne, à l'autre bout de la pièce. Mes parfums s'y trouvaient également. C'était pour moi qu'il avait acheté tout cela, non ? Prés du lit, il y avait un exemplaire de Autant en emporte le vent, le livre que j'avais achetée dans une librairie. « Il sait tout sur moi! »
J'avais cru avoir entendre quelque chose. Sans doute était-ce le fruit de mon imagination. Dans ce réduit, il était facile de perdre les pédales. Ça recommençait. Un minuscule craquement dans le plancher. La porte s'ouvrit et il pénétra dans la pièce sans prononcer un mot. C'était lui! Mon bourreau. Il portait un masque. J'étudia sa tenue : jean délavé serré, bottes texanes noires aux semelles pleines de terre, pas de chemise. Tout en muscles, et fier d'exhiber ses pectoraux. Je m'efforça de tout mémoriser - pour le jour où je retrouverais la liberté. Le masque lui dissimulait le visage captiva mon attention. Je ne pouvais en détacher mon regard. « Pourquoi portez-vous un masque ? » J'avais parlée d'un ton qui n'avais rien d'impérieux, mais plutôt curieux. « Un jour vous serrez libre. Je vous relâcherai. Tout cela fait partie d'un plan que j'ai établi. Je ne supporterais pas de vous voir souffrir. » « Si je suis gentille. Si j'obéis. » « Oui. Si vous êtes gentille. Je ne serai pas si dur que cela, Rosalynn. Vous me plaisez tellement. » J'eux envie de le frapper, de me jeter sur lui. Pas maintenant, m'avisa-je. Pas avant d'être sûre. Je ne pourrais frapper qu'une seule et unique fois. Il paraissait lire dans mes pensées. Il était aussi vif qu'intelligent. « Pas de karaté. Veuillez-vous en souvenir Rosalynn. Je vous ai vue à l'oeuvre dans votre dojo. Vous êtes très rapide et très forte. Moi aussi. J'ai quelques notions d'art martiaux. » « Ce n'est pas ce que j'avais en tête. » Je trouvai que, compte tenu les circonstances, je jouais assez bien la comédie. Pas de quoi mettre Emma Thompson et Holly Hunter aux chômages certes, mais c'était honnête. « Puis-je vous dire à quel point vous êtes belle ? » « En de telle circonstances, je préférerais que vous vous absteniez. » Nouveau rire guilleret, nouveau haussement d'épaules. « D'accord. Voilà qui règle la question, n'est-ce pas ? Nous nous passerons de conversation galante. Du moins, pour l'instant. Mais n'oubliez pas que je peux me montrer romantique. En fait, c'est ce que je préfère. » Je fus surprise par son geste soudain, par sa rapidité. Le pistolet paralysant, surgi de nulle part, m'envoya une violente décharge. Projetée contre le mur de la chambre, je me cogna la tête. L’impact fit vibrer toute la maison, ou plutôt l'endroit où j'étais détenue. « Oh, pitié, non. » Il s'était jeté sur moi. Battant des bras et des jambes, il m'écrasait de tout son poids. Il allait me tuer là, maintenant. Oh, non, je ne voulais pas mourir comme ça, voir ma vie s'achever de cette manière. Je sentis monter en moi une vague de colère et de rage. Dans un effort désespéré, je réussis à dégager une jambe, mais mes bras restaient cloués au sol. J'avais la poitrine en feu. Il était en train d'arracher mon chemiser, de me toucher partout. « Non, je vous en prie, non. » J'avais un goût de sang dans la bouche et je sentais le liquide chaud s'écouler en petit filet au coin de mes lèvres. Je me mis à pleurer. « J'ai tout fait pour me montrer aimable. » Soudain, il se figea. Il se leva, ouvrit la fermeture éclair de son jean et, d'un geste sec, le fit glisser jusqu’à ses chevilles. Il ne se donna pas la peine de l'enlever. Je me mis à flotter entre conscience et inconscience, entre réalité et cauchemar. J'essaya de m'accrocher à chacune des pensées qui traversaient mon esprit. « Garde les yeux ouverts. Regarde-moi, Rosalynn. Tu as de si jolie yeux. Tu es la femme la plus belle que j'aie jamais vue. Est-ce que tu le sais ? Sais-tu à quel point tu es désirable ? » J'avais l'impression qu'il venait d'entrer en transe. Tandis qu'il allait et venait en moi, son corps vigoureux dansait, ondulait, se tordait. Il me caressa les cheveux et différentes parties du visage. Puis, au bout d'un moment, sa main se fit plus douce. Pour moi, folle d’humiliation et de honte, c'était encore pire. « Je t'aime tellement, Rosalynn. Je t'aime à un tel point que je ne peux pas l'exprimer. C'est la première fois que j'éprouve cela. Je te l'assure. La première fois. » Je compris qu'il n'allait pas me tuer. Il allait me laisser en vie. Il allait revenir, revenir et revenir, chaque fois qu'il aurait envie de moi. Submergée par cette vision d'horreur, je m'abandonna. Ma conscience partit à la dérive, et je m'évanouis. Je ne sentis pas le baiser qu'il déposa sur mes lèvres en guise de bonsoir. « Je t'aime, ma douce Rosie. Et je suis vraiment navré pour tout ceci. Je ressens ... tout. »
Il s'avança vers moi et leva le pistolet paralysant à hauteur de ma poitrine. Ses gestes étaient parfaitement calculés. Je poussa un ki-aî! Et avec toute la force qui me restait, je donna un violent coup de pied en visant les reins. Un coup qui pouvait le rendre infirme. Mais ce que je voulais, c'était le tuer. Je manqua le coup de pied de ma vie, mais il se passa pourtant quelque chose. J'entra en contact avec des os et de la chair. Le coup avait atteint les hanche, ou le haut de la cuisse. Mais il avait mal, rien d'autre ne comptait. Mon bourreau poussa un crie de douleur. Je lus la surprise dans ses yeux. Et le méchant orgre s'écroula brutalement. J'eus envie de hurler de joie. Je l'avais blessée. Une voix dans ma tête me disait : « Sauve-toi! Cours! Bouge tes fesses! Tire-toi d'ici tout de suite! » Je franchis le seuil de la lourde porte de bois qu'il avait laissée ouverte. Je gravis à grand-peine les hautes marches d'un escalier de bois. Menaient-elles à un autre étage ? S'était-il lancé à ma poursuite ? Le sang me martelait les tempes. Et soudain, je me retrouva dehors! J'étais belle et bien sortie de cette maison! J'avais trouvé le moyen. Une aveuglante lumière du rayon de soleil me força à cligner des yeux. J'inspira à pleins poumons l'air parfumé de diverses essences d'arbres. Courant, trébuchant, je m'engagez dans une course sur le sol mou, et recouvert de feuilles. Derrière moi, j'entendis des bruits de branches brisées. Il hurlait mon nom : « Rosalynn! Rosalynn! Arrête-toi toute de suite! » L’écho de sa voix roulait comme le tonnerre à travers les bois. Je me retourna. Il était là! A quinze, dix, sept mètre de moi. Tout en progressant, malgré la forte pente, il me regardait. Il ne me quittait pas des yeux. Je tourna le dos à mon bourreau, et je contempla le ravin de rochers et d'arbres. « Vingt mètres, peux être d'avantages. » Le vertige qui s'emparai peu à peu de moi me faisait aussi peur que l'homme qui me poursuivait. J'entendis mon kidnappeur hurler mon nom : « Rosalynn, non! » Mais cette fois, je ne me retourna pas. Je sauta dans le vide. Je replia mes genoux contre ma poitrine. Tout en bas, il y avait un torrent d'eau. Le filet de l'eau se rapprochait de moi à une vitesse inimaginable. J'en ignorais la profondeur. Cinq mètre ? Dix mètre ? Vingt si la chance de ma vie devait se présenter à cet instant précis. Je l'entendit hurler, là-haut : « Rosalynn! Tu es morte! »
Dernière édition par Rosalynn Whitmore le Dim 26 Oct - 16:32, édité 3 fois
Simon Entwhistle
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 12:00
omg kaya cte déesse il nous faudra un lien ma belle, parce que kaya, c'est ma muse de tus les temps, et que ton pseudo dépote j'ai hâte d'en savoir plus sur la jolie rosa bienvenue et bonne chance pour ta fiche ma jolie
Sarah Lowe
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 12:09
kaya, mon bb. excellent choix d'avatar et joli pseudo ! bienvenue parmi nous. (et je réclame un lien aussi. )
Rosalynn Whitmore
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 12:15
Simon Entwhistle a écrit:
omg kaya cte déesse il nous faudra un lien ma belle, parce que kaya, c'est ma muse de tus les temps, et que ton pseudo dépote j'ai hâte d'en savoir plus sur la jolie rosa bienvenue et bonne chance pour ta fiche ma jolie
j'aime recevoir un accueil comme le tien c'est fou comment ça peut motiver une personne pour terminer au plus vite sa fiche pour pouvoir, ensuite, faire plein de jolis sujets avec vous que dire de mister haynes, qui est pour moi, un dieu vivant no problème man pour le lien, je te garde ça au chaud
Sarah Lowe a écrit:
kaya, mon bb. excellent choix d'avatar et joli pseudo ! bienvenue parmi nous. (et je réclame un lien aussi. )
reed est tout aussi magnifique, sérieux merci beaucoup, j'aime aussi beaucoup le tien je te garde un place dans ma fiche
Jay Winslow
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 12:21
KAYAAAAA Qu'est ce que je l'aime cette fille, et ton pseudo? Biwnvenue par ici, et réserve moi un lien
Jill Hemmings
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 12:31
kaya. kaya. kaya. mon dieu, kaya.
ton avatar est parfait, tout comme ton pseudo. je t'aime déjà, jolie rose. puis, ton métier est absolument génial ! et ton titre m'a bien fait rire.
bienvenue belle brune. plein d'amour pour ta fiche, j'ai hâte de voir tes mots. si tu as une quelconque question, n'hésite pas.
Rosalynn Whitmore
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 12:59
Jay Winslow a écrit:
KAYAAAAA Qu'est ce que je l'aime cette fille, et ton pseudo? Biwnvenue par ici, et réserve moi un lien
DYLAAAAAAAAAAAAAAN! cet homme c'est un ange tombé du ciel je suis contente de voir que mon pseudo plaise autant of course que je te garde un lien! regarde-moi ça
spooooiler:
Jill Hemmings a écrit:
kaya. kaya. kaya. mon dieu, kaya.
ton avatar est parfait, tout comme ton pseudo. je t'aime déjà, jolie rose. puis, ton métier est absolument génial ! et ton titre m'a bien fait rire.
bienvenue belle brune. plein d'amour pour ta fiche, j'ai hâte de voir tes mots. si tu as une quelconque question, n'hésite pas.
Holland alias la fille qui hurle tout le temps. désolée, mais c'était plus fort que moi merci beaucoup pour tout ces compliments qui me vont droit au coeur j'ai aucun mérite pour le titre, c'est grâce à mon héroine Bridget Jones tes choix sont orgasmiques, Jill! (d'ailleurs j'aime ton prénom qui est très orignal) merci beaucoup ma belle
Erys Maytown
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 13:16
Ouuh coucou tooi... Bienvenue, j'ai hâte que tu arrives chez moi
Rosalynn Whitmore
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 13:31
qu'est-ce que tu es sexe toi tu auras peut être cette chance, qui sait
Charly Lowe
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 15:18
Mon dieu j'arrive toujours en retard moi Mais.... KAYA BORDEL DE QUEUE DE NON DE DIEU cette meuf est une pure bombe sexuelle, je l'aime tellement Super bon choix & puis j'adore le début de ta fiche j'ai hâte de lire la suite ! & bienvenue ici surtout j'espère que tu te plairas sur gl avec nous
Rosalynn Whitmore
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 15:23
tu n'es pas en retard, rassure toi c'est déjà gentil à toi d'être venue me souhaiter la bienvenue parmi vous. tu m'as tuée avec l'expression "Bordel de queue", ça fessait tellement longtemps que je ne l'avais pas entendu celle-là! puis tu t'es vue avant de parler ? c'est toi la bombe sexuelle merci beaucoup, j'ai bientôt fini d'écrire son histoire je me plait déjà parmis vous
Charly Lowe
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 15:25
Ouais mais j'arrive plus à être la première à souhaiter la bienvenue, ils sont tous trop rapides pour moi ces p'tits gamins C'mon expression favorite, elle exprime tellement bien mes pensées Viens, on va créer le club des potes sexy J'ai hâte de la lire alors
Rosalynn Whitmore
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 15:32
tu sais ce qu'on dit ? Rien ne sert de courir ; il faut partir à point ça te dérange pas si je la réutilise ? bien sur je te payerais les droits d'auteur excellente idée, faudra trop faire ça
Charly Lowe
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 15:43
Paye moi de ton corps et tout ira bien
Rosalynn Whitmore
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 15:44
tu serais prête à y mettre combien ? brefouille, je vais arrêter de flooder sur ma fiche
Jill Hemmings
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 18:19
c'est une triste histoire. mais elle est très bien. MAIS C'EST QUI CE CONNARD ? PERSONNE TOUCHE À KAYA. anywaay, je te valide. bienvenue chez les old.
> fais tes liens, tes scénarios, tes demandes, tes rps, tout ! fais comme chez toi, t'es à la maison.
Rosalynn Whitmore
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose) Dim 26 Oct - 18:26
merci beaucoup , j'apprécie hahaha, très bonne question! J'hésite à créer le scénario de ce malade, mais je doute qu'il soit pris un jour. qui voudrait jouer un fou comme lui ?
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Sujet: Re: Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose)
Un postérieur digne de ce nom, on pourrait y poser une bière et y garer son vélo. (rose)