Tour à tour meilleurs amis puis ennemis, c’est une relation compliquée et conflictuelle qui lie les deux jeunes hommes. Ils se connaissent depuis aussi loin qu’ils peuvent s’en souvenir et étaient inséparables. Ils étaient comme frères, à tel point que Sebastian considérait la mère de Jay comme sa propre mère et passait tout son temps chez lui. Jay et sa famille, c'était un peu une famille de remplacement pour Sebastian. Et en grandissant, les deux garçons ont pris des voies différentes. Sebastian a commencé à faire des conneries, beaucoup trop et lorsque Jay essayait de l’aider, il ne faisait que se replier sur lui-même et le repousser, toujours plus loin, jusqu’au jour où ils en virent aux mains et qu’ils finissent tout les deux salement amochés. Jaloux, trop fiers, trop rancuniers, ils ont préférés couper les ponts plutôt que de parler à cœur ouvert. Ils n’ont plus entendu parler l’un de l’autre pendant plusieurs années jusqu’au jour où Sebastian est venu frapper à la porte de Jay, le visage ensanglanté et quelques côtes fêlées. Dans la merde, perdu, seul, Sebastian savait qu’il n’y avait qu’une seule personne vers qui il pouvait se tourner, la seule personne en qui il ait jamais eu confiance, la seule personne qui un jour avait voulu l’aider et qu’il avait été assez con pour refuser, la seule personne qui pouvait le comprendre, la personne qui, il y a quelques années, était son frère.

sebastian a rencontré la belle lorsqu'elle n'avait que huit ans. jules avait débarqué à Chicago, détruite par la mort de sa mère. La petite n'avait aucune réaction, ne souriait pas et ne disait rien quand bien même sebastian lui lança un ballon sans vouloir. voulant récupérer son ballon, et au passage voir si juliet allait bien, il remarqua que la rousse n'allait pas bien. en bon samaritain, le gosse fit le clown pour faire rire la belle, ce qui marcha, presque. jules avait esquissé un sourire, mais il ne lâcherait pas, juliet allait rigoler une bonne fois pour toute. leur amitié commença à cette instant là. durant des années, ils firent les quatre cent coups ensembles. faire une blague à la voisine, se prendre une grosse cuite à une fête, une amitié parfaite. seulement, au fil du temps, les deux étaient de plus en plus câlin l'un avec l'autre. bastian se montrait jaloux de mecs de jules tandis que la rouquine détestait les conquêtes de son meilleur ami, trop jalouse. ce cirque dura un an sauf que lorsque le brun fit fuir une énième fois un mec de juliet. le jeune homme embrassa jules, celle qui l'aimait. il avait mis du temps à comprendre que juliet n'était pas simplement sa meilleure amie, mais bien plus. ils vécurent heureux, tout les deux. ils s'aimaient, ça se voyaient. on les disait parfait. en couple depuis leur dix sept ans, emménageant ensemble à leur vingt ans alors qu'ils étaient en couple depuis trois ans. le jeune homme avait même demandé sa belle en mariage alors qu'ils avaient tout les deux vingt et un an. bref, un couple fait pour durer. seulement, il parti alors qu'il avait vingt deux. annulant leur fiançailles, leur futur mariage, leur futur vie à deux. balayant tout ça d'un geste. à ce même moment là, juliet apprit qu'elle était enceinte de deux semaines, de sebastian. la rousse se remit doucement mais sûrement de cette relation, tentant d'oublier sebastian et se concentrant sur l'amour de sa vie : son fils. aujourd'hui, il est revenu en ville sauf que jules n'est pas au courant. de son côté, il hésite à la revoir et n'est pas au courant pour l'existence de son fils : theo.

en construction, mais en gros : avec jay, petits, ils étaient les 3 casses-cou. Mais y a toujours eu une cette rivalité entre Sebastian & Charly, chacun voulant être le plus proche de Jay, être son meilleur ami, celui dont il ne pourrait se passer. Aujourd'hui, alors que Sebastian trainait dans des trucs pas très clean, Charly était plus ou moins sur ses traces, au début, sans savoir qu'il s'agissait de Sebastian. Quand elle l'a découvert, ça a été un choc pour elle. En très gros, ils ne sont se jamais réellement aimé niveau amitié, mais depuis quelques temps, ils se méfient carrément l'un de l'autre.