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| (suzie), no matter what we breed we still are made of greed | |
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Suzie Hopkins » billets achetés : 61
| Sujet: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 14:56 | |
| Suzanne “ Suzie “ Hopkins Vingt-deux ans seulement, pourtant, elle a parfois l’impression d’en avoir trente-cinq. Embauchée depuis quelques semaines au palace-hôtel « Rive Gauche », elle y fait un peu de tout ; parfois le service, souvent le ménage, quelquefois l’accueil.. Sans oublier la bonniche du patron, celle qui doit combler ses désirs si elle ne veut pas être virée. Célibataire mais maman d’une petite fille de deux ans. Virée de chez elle et quittée par son petit ami à la découverte de la grossesse, Suzie sait qu’elle ne peut plus compter que sur elle-même. Elle aime les hommes, les a toujours aimé. Elle a d’ailleurs du mal à leur résister et le regrette après. Et elle aime un peu trop la façon dont à son patron de la dominer, même si elle ne l’avouera jamais. Américaine, elle habitait dans une petite ville près de Chicago avant de s’installer ici pour la fameuse loterie. new, elle espère pouvoir sortir de ses galères grâce à un ticket gagnant. On ne peut trouver plus entière, plus sincère. Elle suit ses émotions, elle ne ment pas, elle ne triche pas. Elle rit, elle pleure, elle hurle. Elle veut vivre et rêverait de vivre mieux. Elle aime sa fille Mina plus que tout au monde ; elle est son petit bijou, celle qui lui donne la force de se lever chaque matin. Pourtant, parfois, elle se dit que sa vie aurait été totalement différente si elle n’avait pas été là. Suzie est douce, gentille, sensible. Elle aime aider les autres, même si elle aurait bien besoin elle-même d’être aidée. Elle est fidèle en amitié et peut vous écouter pendant des heures raconter vos problèmes. Elle est du genre jalouse, du genre possessive, mais elle ne le dit pas. Elle n’a pas vraiment, voir pas du tout, confiance en elle depuis que son premier amour l’a quitté, à la suite de l’annonce de sa grossesse ; elle a l’impression de ne pas faire grand-chose de bien et de ne pas servir à grand-chose, elle est une fille qui galère parmi tant d’autres. Elle aimerait que quelqu’un l’aime, lui dise que tout ira bien. Elle aimerait arrêter d’être si faible avec les hommes, et en priorité avec son patron qui se sert d’elle comme un jouet à manipulé à sa guise. Elle aimerait gagner à cette loterie pour sortir de ses problèmes d’argents. Parfois, elle aimerait que tout ça ne soit qu’un mauvais rêve.
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Suzie n’a jamais connu son père, elle a été élevée seule par sa mère qui a toujours eu beaucoup de mal à joindre les deux bouts. » A dix-neuf ans, Suzie tomba enceinte. Sans le vouloir, elle allait répéter les pas de sa mère. Son petit ami avec qui elle était depuis plus d’un an la laissa tomber et sa mère, incapable d’assumer un enfant en plus, rejeta sa propre fille. » Elle qui aurait voulu faire des études de médecine se résigna finalement à enchainer les petites boulots pour pouvoir payer un loyer et se nourrir. » Quand elle entendit parler de la loterie à Chicago, Suzie su que là-bas était peut être sa chance. Installée ici depuis maintenant quelques mois, elle attend simplement que la roue tourne et que la chance lui sourit. » Pour l’instant, elle vit dans un minuscule studio 3 pièces. » Elle s’est faite engagée il y a quelques semaines au palace « Rive Gauche », elle apprendra à ses dépens que ce n’était sans doute pas pour ses compétences mais plutôt pour son physique qui attira un peu trop le patron. » Elle vit aujourd’hui une relation assez malsaine avec lui. Il la prend sans cesse pour sa « bonniche », lui demande des services qu’elle se doit d’accomplir. Elle a couché avec lui la semaine dernière sans vraiment savoir si c’est lui ou elle qui en avait le plus envie. » Le soir, Suzie sort rarement, elle reste la plupart du temps chez elle pour s’occuper de sa fille. » Il lui arrive souvent de passer du temps dans les magasins, même si elle sait qu’elle ne pourra pas y acheter grand-chose. » Elle essaye d’être jolie, même si elle n’a pas les meilleurs moyens du monde. » Elle aime danser, seule dans sa chambre. » Elle lit beaucoup, ça lui permet de s’évader. » Elle regarde souvent des comédies romantiques. » C’est une très bonne cuisinière et une grande gourmande. Le chocolat, elle n’y résiste pas. Derrière l'écran pseudo : Peu connu sur le web, appelle moi Léa ! âge : 17 ans et demi, et oui, bientôt la majorité ! fréquence de connexion : Tous les jours normalement ! Par contre, je pars demain en vacances pour une semaine, alors même si je vais essayer de passer, je ne sais pas si je serai très active .. où as-tu trouvé le forum : Bazzart qu'en penses-tu : Je le trouve vraiment super réussi ! Et les admins ont l’air hyper accueillantes ! scénario ou inventé : totalement inventé ! dernier mot : | |
Dernière édition par Suzie Hopkins le Dim 19 Oct - 16:29, édité 3 fois |
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Suzie Hopkins » billets achetés : 61
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 14:57 | |
| Mon histoire « T’es belle tu sais, T’es tellement belle. » Elle se blottit contre lui. L’homme de sa vie, de ses rêves. Le premier, celui qu’elle n’oubliera jamais. « Tu dis ça juste parce qu’on vient de .. ? » Il lui pose un doigt sur la bouche, l’embrasse passionnément. Elle, elle s’envole dans un autre monde, se sent pousser des ailes colorées. Elle venait de lui donner son corps pour la toute première fois, pourtant, ça ne faisait que quelques mois qu’ils étaient ensemble. Mais lui voulait, et elle, elle .. Elle avait fini par craquer. Certains lui disaient qu’elle était une belle idiote, qu’il n’était peut-être qu’avec elle que pour ça, mais Suzie refusait d’y croire ; il l’aimait, elle le savait. « Arrête de dire n’importe quoi tu veux ? » Il lui embrasse sa bouche, son nez, ses joues. Il sourit. Elle sourit. Elle est heureuse avec lui, elle s’échappe enfin de sa vie pleine de soucis. Dans ses bras, elle ne pense plus à leur problème d’argent, à elle et sa mère. Après tout, et si tout ça n’était qu’un mauvais rêve ? Et si la réalité était ailleurs, dans les bras de l’homme qu’elle aime ? « Je t’aime. Tu ne peux pas savoir combien je t’aime. » Ces mots, sans doute lancer trop tôt, c’était la dernière fois qu’elle allait les prononcer. ☆☆☆ « Enceinte ? Ta blague est hilarante, Suzanne, mais si tu avais passé la journée que je viens de passer tu n’aurais pas non plus envie de rire. » Suzie aimait sa mère, elle l’aimait énormément. Mais pourtant, leurs rapports étaient rarement au beau fixe. Sa mère passait ses journées à travailler, elle enchaînait les heures et les petits boulots sans pourtant parvenir à avoir un salaire correct à la fin du mois. Depuis des années, elles étaient bloquées dans un tout petit appartement et ne pouvaient pas se payer le luxe d’aller faire les boutiques toutes les semaines, comme certaines des amies de Suzie pouvaient le faire. « Je sors tout juste du médecin et … » Suzie ne put retenir ses larmes plus longtemps. Elles ruisselaient sur son visage quand sa mère se rendit compte que la blague n’en était pas une. Elle se leva d’un bond, gifla sa fille, l’insulta de tous les noms. Elle ne pouvait pas comprendre qu’elle avait été assez idiote pour donner son corps, pour ne pas se protéger. Surtout, elle ne comprenait pas pourquoi elle refaisait la même erreur qu’elle, elle qui avait eu Suzie très tôt et qui ne s’en sortait aujourd’hui pas. « Si tu décides de garder cet enfant, sache que ce sera sans moi. » Un nourrisson à nourrir, les frais de la maternité ? Elle ne pouvait pas assumer. Elle préférait envoyer sa fille balader, la faire sortir de sa vie … Peut être que c’était finalement ce qu’elle avait toujours attendu. « Suzie ? Qu’est ce qui t’arrive ? Me dit pas que c’est encore ta mère je vais .. Elle l’embrassa. Du plus fort qu’elle pouvait. C’était comme si c’était la dernière fois. Elle avait ce sentiment ou plutôt ce pressentiment que lui non plus, n’allait plus vouloir d’elle. Bien sûr il l’aimait, mais c’était ce genre de mecs qui tenait à leur liberté, qui voulait faire la fête, boire, s’amuser. Pas avoir un gosse à vingt ans à peine. Ca non. . « Je suis enceinte. » Le regard de celui qu’elle aimait changea instantanément. De ses yeux amoureux, il passe à un air beaucoup plus grave, beaucoup plus distant. Elle le savait, elle s’en doutait. Sur le chemin entre chez sa mère et chez lui, elle avait pensé à toutes ses possibles réactions en se disant finalement que, dans tous les cas, il ne voudrait pas de ce bébé. Et elle, elle .. Elle le voulait. Elle avait envie que quelqu’un donne un sens à sa vie, qu’un petit être l’aime pour toute une vie. De toute façon, elle avait toujours été contre l’avortement et ne voulait même pas y penser. « Je .. Ca va pas être possible Suzie ça, tu le sais .. J’ai dix-neuf ans je compte pas jouer au papa là maintenant, et peut être jamais d’ailleurs. C’pas mon truc les gosses. » Elle s’arrête de pleurer, respire un bon coup. Ses yeux sont bloqués dans ceux de celui qu’elle avait tant aimé. C’était le père de son futur enfant, sans doute qu’il aurait ses yeux bleus. Mais jamais ce bébé ne connaitra son père. Comme Suzie n’avait elle-même jamais connu le sien. Coïncidence ? Sort qui s’acharne ? « Tu comptes avorter je suppose ? » Comme une seconde gifle. « Laisse moi tranquille. » Elle tourne les talons, elle disparait. Elle l’oublie. Elle vit sa vie. ☆☆☆ « Vous commencez lundi, mademoiselle Hopkins. » Les yeux ronds, elle ouvrit la bouche, la referma. Quand elle avait postulée pour entrer dans le palace « Rive Gauche », elle s’était dit que c’était sans doute sans espoir. Trop luxueux pour elle, trop grand, trop beau pour elle. Au milieu de toute cette luxure, elle se sentait minuscule et surtout, tellement pas à sa place. Mais elle avait eu envie de tenter, d’y aller au culot. Elle n’avait aucune expérience dans l’hôtellerie, ni même dans le nettoyage mais elle en avait assez de travailler le soir dans les bars, et donc de ne pas voir sa fille. Ce boulot, au moins, avait le mérite d’avoir des horaires qui lui permettraient de rentrer tranquillement chez elle chaque soir. « Mais vous .. Vraiment ? Vous n’avez aucune question à me poser ? » Surprise, c’était bien la première fois qu’un entretien se finissait aussi rapidement. A peine était-elle entrée, elle n’avait pas eu le temps de dire grand-chose avec qu’il lui dise qu’elle était embauchée. Pourtant, elle ne devait pas être la seule fille de Chicago à postuler pour ce job. « Je ne me souviens pas vous avoir donné la parole ? » Se levant de son bureau, il posa une main sur l’épaule de la jeune fille et la reconduisit jusqu’à la porte, la laissant bouche –bée au-devant de son palace de luxe. « C’était quoi ce café, Suzanne ? » Alors qu’elle nettoyait les chambres, on était venu lui dire que le patron la cherchait. Depuis les quelques semaines où elle travaillait au palace, c’était le genre de moment qui arrivait fréquemment. Le patron l’appelait et lui demandait des services qu’elle était obligée de remplir parce qu’elle ne voulait surtout pas perdre son boulot. Elle avait l’impression de ne pouvoir rien lui refuser, d’être totalement sous son emprise. Elle se contentait de hocher la tête, de dire oui, de faire. Après tout, c’était lui qui la payait. Après tout, s’il lui prenait l’idée de la virer, elle ne retrouverait sans doute pas de boulot de sitôt. « Pardon ? » Le café, le même que habitude. Elle haussa les sourcils sans comprendre pourquoi il l’avait fait venir. « Inbuvable. Tu peux nettoyer, ça t’occupera. » Elle leva les yeux vers lui, ouvrit la bouche en voulant demander ce qu’elle devait nettoyer puis la referma quand il fit tomber sa tasse de café par terre, répandant le liquide sur le carrelage du bureau. Tournant les talons pour aller chercher ses ustensiles de nettoyage, elle soupira. « On soupire maintenant ? » Lentement, elle se retourna vers lui, plantant ses yeux dans les siens. « Je suis payée pour rendre l’hôtel agréable au client, pas pour réaliser vos moindres .. » Elle s’arrêta, se rendant compte de ce qu’elle était en train de dire. Caprice, ses moindres caprices. Mais était-on censé parler de cette façon à son patron ? A celui qui pouvait vous congédier d’un claquement de doigts ? . « Mes moindres quoi, Suzie ? Désirs ? Si tu savais ce que je désire à ce moment précis .. » Il s’approche d’elle, ferme la porte, la plaque contre le mur. Elle, elle ne comprend plus rien, elle ne contrôle plus rien. Elle se laisse glisser entre ses bras, elle laisse fondre ses lèvres sur les siennes, elle sent son corps s’appuyer sur le sien. Elle succombe, elle oublie tout le reste, même qu’elle est censée être sur son lieu de travail, en train de nettoyer les chambres, de servir les clients, de tout faire sauf d’embrasser un homme qu’elle connait à peine et qui la traite comme une moins que rien. Elle en a assez d’être faible, de se laisser faire, d’être incapable de repousser un homme. Et il lui fait l’amour, et elle oublie tout ce qui l’entoure.
Dernière édition par Suzie Hopkins le Dim 19 Oct - 20:21, édité 2 fois |
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Charly Lowe » billets achetés : 360
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 15:19 | |
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Suzie Hopkins » billets achetés : 61
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 15:26 | |
| Merci pour l'acceuil, ça change des " bienvenues bateaux" si tu vois ce que je veux dire oui je suis là J'ai mis du temps, je sais, mais mon amoureux dormait chez moi Ouii, Suzie ça va être une fille entière et sincère, le contraire des Nina manipulatrices de d'habitude, ça change Oui je ferai son patron en scénario, ça risque d'être assez amusant à jouer Oh et super, j'espère pouvoir passer, mais je vais être avec une autre fille dans le même chambre et tout, alors je sais pas si je pourrais RP |
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Charly Lowe » billets achetés : 360
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 15:29 | |
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Suzie Hopkins » billets achetés : 61
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 16:30 | |
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Jill Hemmings » billets achetés : 360
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 17:25 | |
| tbh, au début, j'étais sceptique. je ceux dire, nina on l'a vue, vue et encore revue. SAUF QU'EN FAIT NON j'adore ce que tu en as fait, le personnage, ta plume, tout ça, tout ça. franchement, j'suis en amour avec ta suzie.
bienvenue et bon jeu sur gl, ma belle. n'hésite pas au besoin, tu sais que j'suis là. |
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Suzie Hopkins » billets achetés : 61
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 17:38 | |
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Jay Winslow » billets achetés : 186
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Suzie Hopkins » billets achetés : 61
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 18:37 | |
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Charly Lowe » billets achetés : 360
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 18:41 | |
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Suzie Hopkins » billets achetés : 61
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 18:46 | |
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Charly Lowe » billets achetés : 360
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 18:48 | |
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Suzie Hopkins » billets achetés : 61
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 20:23 | |
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Jill Hemmings » billets achetés : 360
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Dim 19 Oct - 21:42 | |
| quelle jolie histoire. oui, c'est super triste mais j'aime trop. j'aime ce genre de personnages et j'ai vraiment hâte de voir ce que vont donner les rps. franchement, suzie, elle gère. entre la gamine, la mère, le père et le patron, elle gère vraiment, elle s'occupe de sa fille avant tout. c'est pour ça que j'aime le personnage.
je te valide donc, et bienvenue chez les new. je viendrais envahir ta fiche de liens.
tu peux faire tes liens, tes scénarios et ta vie à chicago. vole, petit oiseauuuu. |
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Charly Lowe » billets achetés : 360
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Jill Hemmings » billets achetés : 360
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Lun 20 Oct - 7:49 | |
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Suzie Hopkins » billets achetés : 61
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Lun 20 Oct - 8:44 | |
| Je suis sur la route des vacances, iphone en main pour vous répondre Jill, merci pour tous ces jolis compliments, je suis contente que le personnage plaise, je pense qu'elle va pas mal m'inspirer Et vous battez pas, le patron c'est un gros con mais bon, il est sexy quand meme |
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Charly Lowe » billets achetés : 360
| Sujet: Re: (suzie), no matter what we breed we still are made of greed Lun 20 Oct - 9:15 | |
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